mardi 5 mai 2009

Mlle Quincampoix déménage...



Bonjour à tous !

juste un petit mot pour vous dire que mon blog change d'adresse :

http://www.mademoisellequincampoix.com/

Pensez à changer vos liens

J'espère que vous continuerez à me suivre...

Merci à tous !

A très bientôt


lundi 4 mai 2009

Le Chic & Pop de Laurent Desgranges.



Aujourd'hui, un grand coup de cœur !
Laurent Desgrange.
Un jeune créateur de talent à l'univers graphique chic et choc ...

Si vous cherchez un nœud papillon c'est sur que c'est chez lui qu'il faut aller.
Ils sont tous plus beaux les uns que les autres...Comment choisir ?

Ses illustrations sont aussi magnifiques : mêlant un monde iconographique ancien à un graphisme géométrique très contemporain.

Un véritable feu d'artifice de motifs, de couleurs, de matières...





Laurent Desgrange dessine, fabrique et commercialise ses créations sous son propre nom depuis 2005.
À l’origine destinées à ses amis et son entourage personnel proche, ses Tshirts ont très vite séduit un public toujours plus large. Amateurs de rock et de pièces uniques ont été de plus en plus nombreux à apprécier l’originalité de l’approche esthétique graphique et pointue de ses visuels.





Mixés à des détails d’inspiration traditionnelle néo-classique comme les figures d’héraldique ou de jeux de cartes, les motifs qui ornent ses vêtements sont d’abord créés sous forme de collages surréalistes puis sérigraphiés à la main.

Dames, valets, personnages de gravures anciennes et animaux mythologiques sont quelques-uns des motifs d’inspiration détournés et décalés dans un esprit de mode pointu et actuel que l’on retrouve en détails et imprimés. Il envisage ainsi ses créations comme le moyen de véhiculer un message esthétique d’originalité et d’indépendance.








L’impact visuel de ses pièces uniques s’enrichit en effet, sur certains modèles plus exclusifs de broderies main, de découpes géométriques en patchwork.







Laurent Desgrange se concentre sur le haut du corps avec sa ligne de Tshirts qui s’est enrichie depuis de polos et chemises. Celle-ci est complétée par une collection de nœuds papillon réalisés à la main.


Depuis 2007, il présente chaque saison aux salons Who’s Next ou Prêt a Porter Paris.

Prochain rendez-vous au salon Shibuya Prêt a Porter Paris Septembre 2009









Points de vente :

Paris :
Marais : Emilie Casiez, Jack Henry, Noir Kennedy
Etienne Marcel : Out
Abbesses : Chine Machine

Turin : Frav

Dublin : All the Best

Berlin : Niconé

Japon : Onward

http://www.laurentdesgrange.com/

dimanche 3 mai 2009

Dans le dressing de BadGirl.



Aujourd'hui, je vous propose d'entrer dans le dressing de Badgirl.
Pour les adeptes de Modepass, vous la connaissez déjà surement.
Elle vient d'ailleurs de gagner leur concours pour être publié dans la presse.
Ses conseils sont précieux : quand elle parle de Mode, elle connait son sujet !
Le look est une histoire de famille pour elle...


"Je suis une jeune avocate idéaliste et passionnée qui cultive luxe, calme et volupté…
Fan de sacs et de chaussures, de noir et de sobriété, la mode est pour moi une histoire de famille. Les vêtements se prêtent, se donnent et connaissent plusieurs vies pour le plus grand plaisir de mes proches.
Je vis entourée d’une quantité astronomique de magazines que je lis, relis, découpe et dépèce jusqu’à la dernière page…
Accro du shopping évidemment, j’aime aussi fumer, rire avec mes amis, écouter de la musique beaucoup trop fort et chanter faux…très, très faux!"


Son dressing :








Comment tu définis ton style ?




Je suis essentiellement en noir ou teintes sombres, bleu marine ou brun.
Première règle absolue : mixer les pièces, oser une touche décalée, robe du soir / veste en cuir, féminin / masculin et rendre les pièces chics un peu trashy. Ne jamais être en total look ni avoir l’air too much.
Mes essentiels de tous les jours ? une veste de smoking masculine portée sur une blouse avec un jeans et dans un autre registre, une robe ultra mini mais accessoirisée de collants opaques et boots plates ou bottes de moto revisitée.
Pour le soir : l’éternelle petite robe noire, neutre, en ajoutant une touche de couleur ou de métal pour le côté sexy. Il s’agit plus ici d’une question de matières que de tenues et matières fluides, soie et autres mousselines sont à l’honneur.
Ma tenue fétiche ? une robe en soie See by Chloé, dos nu, que je porte les cheveux attachés, au-delà du rythme des saisons, avec des boots ou sandales plates mais également avec des chaussures à talons ou bottes plus féminines.




Comment tu le construis ?

La base pour construire un look est de miser sur les bons accessoires et surtout soigner le choix du sac et des chaussures, accessoires élémentaires du look. Du reste on ne retient qu’une silhouette que je construis au grès de mes humeurs : mutine, sexy, sage, décontractée ou féminine...



Un principe que j’ai appris : adapter son look à sa morphologie, ne pas acheter un vêtement parce que c’est le « hit » du moment mais parce qu’il reflète sa personnalité et convient à sa morphologie. La mode pour la mode n’est pas intéressante mais doit être un vecteur d’expression individuelle, s’approprier pour refléter une personnalité.
Enfin, je ne néglige jamais le choix des accessoires permettant de finaliser le look : souligner la taille par des ceintures hautes, larges ou fines et taille basse, ajouter des foulards ou bijoux, sautoirs et autres, soigner le détail.




Qu’est-ce qui t’influence ?



D’abord, la quantité astronomique de magazines que j’achète régulièrement avec une mention spéciale pour le Elle, le Jalouse et le Vogue.
Et puis, des personnalités, connues ou inconnues, aperçues dans la rue, icônes médiatiques comme Lou Doillon, Kate Moss ou Alexa Chung, ou encore côtoyées dans mon entourage.
Enfin, de façon intemporelle, ce sont mes deux sœurs qui ont une particulière influence sur moi, en qui j’ai confiance et qui sont mes conseillères les plus avisées.


Où trouves-tu tes vêtements ?



Je suis absolument obsédée par le shopping, fonctionne par crise de tendance compulsive mais je suis aussi monomaniaque et, en fin de compte, porte toujours les mêmes choses…
J’aime particulièrement Balenciaga pour les accessoires et Martin Margiela pour les chaussures dont je possède trois paires et notamment une paire de bottes que j’ai tellement porté cet hiver que j’ai dû faire ressemeler !
Pour les jeans, c’est Acne, Notify et H&M et je reste depuis plusieurs années totalement fidèle à K Jacques pour les sandales d’été, que je trouve sur Internet ou à Saint-Tropez.
Triple coup de cœur pour Isabel Marant qui me plait toujours d’avantage au fils des saisons et dont les collections correspondent toujours à mes envies, mélange d’un style ethnique et raffiné, sobre et toujours féminin.
A Paris, j’affectionne particulièrement le Bon Marché et la rue Antoine Dansaert à Bruxelles, Mecque des créateurs belges.
Sinon, j’ai une curiosité à toute épreuve qui me pousse à chiner autant chez H&M, Zara, Top Shop ou Asos sur Internet que chez Vanessa Bruno, Sandro ou Dries Van Noten




Retrouvez-la sur modepass : www.modepass.com/badgirl

samedi 2 mai 2009

Le retour des 90's...



Ca devient de plus en plus réel...
Les années 90 font leur grand retour dans la tendance !

Moi quand je pense aux années 90, je repense à mon adolescence, au Hit Machine avec Charly et Lulu, je revois Hélène et les garçons et surtout Berverly Hills !
C'est donc un peu terrifiant...

Personne n'aime vraiment se souvenir des années "ingrates".
Je me rappelle des bombers Scott, des jeans coupe droite et taille haute Levi's 501, les tee-shirts courts, ultra moulants et fluos Kookai, les Doc Marteen's...
Bref, un moment assez difficile à passer !




Mais en regardant de plus près, quelques pièces réinterprétées s'inscrivent assez bien dans notre temps : la veste en jean (même si j'ai encore du mal...), la veste d'homme à épaulettes est redevenue un "must-have", les imprimés pastels liberty à la Cacharel, les Wayfarers...

Le tout étant de savoir bien composer la tenue pour ne pas avoir un "total look", qui pourrait vite virer au ringard, et garder le meilleur de ces années ( donc pas le Scott, ni le vert anis et les imprimés "etniques" flashy...)

Et vous? vous avez ressortis des pièces superbes de votre grenier?




vendredi 1 mai 2009

Kids with Guns !



Aujourd'hui, je vous propose de découvrir la créatrice tellement pétillante de "Kids with guns".

Elle a une passion pour la récupération, les brocantes et sa vieille caisse de jouets...
C'est de là qu'est parti l'univers de sa marque.

Chaque pièce est unique et a une histoire.
Moi j'adhère complètement à ses créations !



"Kids with guns vient de la chanson de Gorillaz remix hot chip du même nom qui m'a beaucoup touchée et du collier pistolet qui est le tout premier que j'ai fait pour moi, et qui ne m'a pas quittée depuis 2 ans."



"Je crée des bijoux ( colliers et bagues et serre tête) avec des jouets Barbie et Playmobil . Je cherche les objets qui représentent le plus l'univers qui me plait et auquel je veux appartenir; un savant équilibre entre féminité douceur et élégance et caractère, humour"



"Pour l'instant tous les objets viennent de ma propre caisse à jouet mais j'ai commencé à chiner dans des brocantes, des magasins de jouets et des vides greniers les objets qui seront mes futures créations."




"Je fonctionne au coup de cœur et j'ai des tas, mais des tas d'idées en tête !
Après tout dépend de ce que je trouve et du matériel que j'ai ; je ne sais pas ce que va devenir un jouet avant la fin .
Il peut être une bague, une broche, une barrette, ou un collier."




"Je travaille seule ce qui me permet de pouvoir décider ce que je veux et de ne m'en vouloir qu'à moi même en cas d'échec.
Mais j'ai beaucoup de projets pour travailler avec d'autres artistes ."




"Et il y aura bientôt des vêtements sur le site .
Je retape du vintage .
En fait j'aime chiner, j'aime les brocantes, j'aime que les vêtements ou les objets aient une histoire et que je puisse la connaitre pour le transformer."





"Ce que j'aime avec les jouets c'est qu' ils sont quasi uniques. il ne s'agit pas de séries et je ne veux pas qu'il y ai des objets qui soient pareil ( à part pour les chaussures de Barbie qui sont par paires quand je n'en ai pas perdue une) je peut faire 3 bagues lapins mais j'aurai un mal fou à trouver les 3 mêmes.
J'aime à ce que chaque objet soit unique, que la personne qui le choisisse se dise que c'est l'objet qui la représente et qui complètera son caractère."












On peut me trouver:
http://kenzasmg.blogspot.com/ (article sur blog kenza)
http://kidswith-guns.blogspot.com/ (mon blog)
http://www.facebook.com/profile.php?id=683981776#/group.php?gid=81110381538&ref=ts (ma page facebook)


On peut commander et me joindre : juanita--banana@hotmail.fr
Ou sur mon facebook bien sûr ( kids with guns )

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Revue de presse.



Êtes-vous allés voir l'exposition les marins font la mode au Musée de la Marine ?

Je vous en avais déjà parlé.
Cette exposition est vraiment géniale.
Il ne faut pas la manquer...

Ce qui est aussi très intéressant c'est le blog que les commissaires de l'exposition ont mis en place en parallèle.
J'y passe tous les jours et je découvre chaque fois des articles passionnants.
Et hier, l'article sur la créatrice Val Piriou a particulièrement retenu mon attention.
Je vous conseille de le lire et d'aller faire un tour sur ce blog génial !

http://www.musee-marine.fr/blog/

Val Piriou au musée national de la Marine

"Dans le cadre de notre exposition, nous présentons trois œuvres textiles d’une créatrice peu connue en France, Val Piriou.

Vestiaire Caban dans l'exposition : Caban en PVC Blanc, Val Piriou puis Hermès/Margiela, Jean Paul Gaultier, Hermès/Gaultier,

Vestiaire Caban dans l'exposition : Caban en PVC Blanc, Val Piriou puis Hermès/Margiela, Jean Paul Gaultier, Hermès/Gaultier, Ted Lapidus

Moins connue dans son pays qu’à l’international, “Val Piriou avait une démarche très moderne pour son temps, fruit du mélange entre ses origines bretonnes et cette vie londonienne hype”, raconte Nelly Rodi.

L’influence de la Bretagne se fait ressentir dans le travail de Val Piriou. Avec un culot incroyable, et un talent surprenant, elle a su donner au costume breton du XIXe une nouvelle vie et une démesure. Travailler certes sur le costume régional, mais pour l’internationaliser.

A l’instar des défilés de Jean Paul Gaultier ou de Christian Lacroix, eux aussi influencés par les costumes des bigoudènes, Val Piriou a su bien avant, voir en ces costumes typiques, une poésie, une création, un potentiel de mode. Entre les vêtements des marins et ceux folkloriques, la créatrice a détourné des pièces austères en tenues sexy, zippés, déhanchées créant en partie ces futures Breizh icônes.

Vestiaire Marinière et Vareuse : en haut à droite Top Val Piriou

Vestiaire Marinière et Vareuse : en haut à droite Top Val Piriou

Formée aux Beaux-Arts de Quimper et Rennes puis à Paris, Val (pour Valérie) Piriou intègre des écoles de stylisme (Cours Berçot, Fashion Forum School) entre 1983 et 1985.

Elle s’installe en octobre 1985 à Londres et créé sa marque en 1986 et son logo (Tour Eiffel et nuage). Elle démarre par un défilé de maillots de bain lors de l’ouverture d la boîte de nuit le Limelight à Londres, et la chaîne Harrod’s lance et diffuse sa marque. Dès 1987, elle présente ses pièces au British Designer Show, propose une collection de lingerie en coton strech et broderie bretonne. En 1988, c’est la création de la ligne Maille fabriquée à Quimper par les bonneteries Fileuses d’Arvor. Val Piriou transforme son logo l’année suivante : le curseur rond du zip se mue en triangle, le V de Val.

Exilée à Londres, elle peut enfin laisser exploser son talent lors de ses shows. Son défilé en 1990 présente 150 modèles, défilé présenté sur une scène circulaire en forme de gâteau d’anniversaire au son d’un orchestre de jazz.

Modèle du Musée portant les collections Val Piriou / Mnm A. Fux

Modèle du Musée portant les collections Val Piriou / Mnm A. Fux Diffusion Interdite

“Le nouveau nom à retenir c’est Val Piriou. Une jeune femme de 27 ans, née en Bretagne (France) mais qui a vécu à Londres pendant 6 ans. Elle a fait débuter son défilé par un concert live d’un jazz band de la Nouvelle Orléans. Ces tenues sont si “ouvertes” qu’elles ressemblent davantage à des sous vêtements . Elle aime les surfaces texturées, les sequins en bois , et fait des robes avec des billes de bois telles que celles que les chauffeurs de taxis utilisent. Sur qu’on entendra parler d’elle” Bernadine Morris, New York Times, 16 oct. 1990.

Le 15 octobre 1990, elle est nommée Innovative Designer of the Year at the Fashion Ceremony at the Royal Albert Hall (l’équivalent français du Dé d’Or).

En 1991, sa veste à poches détachables devient l’image publicitaire des tissus LYCRA .

Pour la collection’hiver 91/92, elle présente son show à Londres, puis figure au Salon des Créateurs à Paris, et au salon des designers de New York. La robe de mariée présentée en fin de défilé, en toile de cuivre froissée, est choisie par Pedro Almodovar producteur pour une scène de mariage du film d’Alex de la Iglesia “Action Mutante” tournée en 1992.

Top Val Piriou de dos / Mnm A. Fux

Top Val Piriou de dos / Mnm A. Fux Diffusion Interdite

Pour l’été 91/92 la consécration doit passer par un défilé à Paris. C’est le cas le 21 octobre 1991 à la Galerie de la Tour de Nesles avec 100 modèles. La tendance est au gabardine strech. Avec une collection style marin, en gabardine de strech blanc et noir galonnée de blanc, des combi shorts à cols marins, robes , tailleurs …

Le final du défilé présente une série de modèles inspirés des costumes traditionnels bretons. La mariée néo bigoudène porte un modèle de mini robe orange en guipure sur jupon de crin se prolongeant en traîne, un voile de tulle s’échappe de la coiffe en plastique.

En 1992, on assiste à la création de la ligne VP diffusion et la jeune créatrice est lauréate à la Fashion Weeks London Awards. Le ligne s’ouvre l’année suivante au marché japonais. Un show room est ouvert à la Galerie de la Madeleine à Paris.

Malheureusement,en 1995, la dernière collection en préparation ne peut être présentée. Val Piriou trop faible est déjà gravement malade.

Val Piriou, c’était la griffe glamour d’une Bretonne

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Caban en PVC présenté dans l'exposition / Mnm A Fux Diffusion Interdite

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Caban en Pvc de face Val Piriou / Mnm A Fux Diffusion Interdite

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Tenue Val Piriou portée par le modèle du musée / Mnm A Fux Diffusion Interdite

Née à Quimper le 30 août 1963 et disparue le 13 mars 1995, Val Piriou a laissé une oeuvre riche, sans doute inachevée. Sa mère, Marie-Paule Piriou, a beaucoup oeuvré pour faire (re)connaître le travail de sa fille. Elle a fait don des collections de sa fille au musée départemental Breton de Quimper, ainsi qu’au musée de la mode de Marseille.

Jupe à pont exposée au musée / Mnm A. Fux

Jupe à pont exposée au musée / Mnm A. Fux

L’été dernier, Maurice et Ida Garnier, qui ont exposé Bernard Buffet depuis ses débuts en 1947, ont offert au musée départemental Breton de Quimper, une de ses toiles intitulé La Bigoudène. Cette oeuvre est présenté entre deux robes de Val Piriou.

Les oeuvres de Val Piriou ont été à plusieurs reprises exposées

Costumes traditionnels du Finistère (collection néo bigoudène de 1991). musée départemental breton, Quimper. 1996

Nouveaux objets, anciens mondes musée de Bretagne, Rennes. 2002

Val Piriou une griffe bretonne, Ateliers de l’Art, Douarnenez. 2002.

EXPRESSIONS DE BRETAGNE au Manoir de Kernault. 2003

MODERNITES DU COSTUME BRETON, de la tradition à Jean Paul Gauthier, espace chapelle de la Mairie de Guingamp, 2007

TALENTS AIGUILLES à Plougastel Daoulas, au musée de la fraise et du patrimoine, avril-oct. 2008

Eté 2008 : Marie Paule Piriou arrive de Quimper au musée national de la Marine, apportant avec elle des tenues de Val Piriou dont nous avons beaucoup parlé par téléphone.

Rapidement, elle nous autorise non seulement à photographier ses collections mais à ce que ces tenues soient flashées en situation. Le propre d’un vêtement est d’être porté, en mouvement. Une des collaboratrices du musée, accepte gentiment de prêter sa silhouette et de jouer au mannequin le temps de la séance photo. Le photographe du musée joue le jeu également.

Avec beaucoup d’émotion, les vêtements de Val sont revêtus et revivent devant nos yeux."